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il y a 6 ans
C'est en me retrouvant sur l'estrade avec les 9 autres concurrentes que j'ai réalisé que je n'aurais jamais dû accepter ce concours de " Miss camping juillet 2006 "... Trop tard ! Mais mon époux avait tant insisté, et moi, amoureuse éperdue, je désirais tant lui faire plaisir ! N'est-il pas naturel d'être amoureuse de son mari lorsqu'on a seulement 4 mois de mariage ? Si, bien sûr. Et c'est pour cela que j'ai accepté de passer nos premières vacances (notre " voyage de noce ") dans ce camping de la côte d'azur ou il revient chaque année depuis trois ans...
Moi qui n'avais jamais campé, j'aurais préféré une ambiance plus intime et surtout plus de confort... Mais il a argué que nous étions jeunes (23 ans pour lui, 19 pour moi) et que cela constituerait une nouvelle expérience pour moi. Bien sûr, j'ai plongé ! Je l'avais déjà fait quelques mois plus tôt en me fiançant et me mariant en un temps record tout simplement parce que j'étais amoureuse (nous ne nous connaissons que depuis janvier 2006). Ah l'amour !
Toujours est-il que trois jours seulement après notre arrivé dans ce camping en bord de mer (" tout confort avec accès plage direct, piscine et supérette "), Jean m'a annoncé qu'il m'avait inscrite au concours de beauté du camping ! Moi qui suis timide et introvertie, j'étais tout simplement furieuse. Je n'avais aucune envie de me présenter devant tout le camping en maillot de bain pour être jugée de uniquement sur mes qualités physiques, être évaluée comme une vulgaire « pouliche » ! De quel droit, d'ailleurs, allaient-ils choisir la plus belle ? Selon moi, la beauté est trop subjective pour faire l'objet d'une récompense...
Bref, j'ai tenté de toutes mes f o r c e s de m'opposer à ma participation. Mais, encore une fois, j'ai cédé. Et pour cela, qu'a-t-il eu à faire ? Pas grand chose hormis me caresser doucement les cheveux et les fesses en répétant " je veux que tu participes, et en plus, je veux que tu gagnes ". Doucement, oui, mais avec tendresse, persuasion et surtout avec une farouche détermination. Et moi, comme d'habitude, j'ai fondu...
J'étais donc là, le soir même, montant les marches de l'estrade à l'appel de mon nom par l'animateur (le directeur du camping), m o r t e de peur et de trac. Cependant, au moment déterminant, mon stress s'est mué en une assurance dont je ne me croyais pas capable. Je suis venue au centre de la scène, habillée de ma plus jolie robe rouge.
Un vêtement ordinaire (je n'avais rien apporté de très habillé au camping !) mais néanmoins suffisante dans ce cadre décontracté. J'ai souris au public qui était vraiment très nombreux (on dit que j'ai un beau sourire et un visage harmonieux : tant mieux, c'est utile dans ce genre d'occasion !).
J'ai répondu à quelques questions, mais je n'ai pu m'empêcher de rougir à l'énoncé de mes mensurations (que l'on s'accorde habituellement à donner comme " idéales "). Le speaker en a profité pour dire que j'étais toute intimidée (ce que je m'eff o r ç a is justement de cacher). Puis il termina ma présentation par une phrase un peu énigmatique pour moi : " C'est souvent les plus timides qui vont le plus loin, peut-être pourront-nous le vérifier tout à l'heure ".
Je suis allée ensuite rejoindre mes concurrentes en ligne au fond de l'estrade tandis qu'une autre était appelée à son tour. J'en profitais pour jeter un coup d'œil aux autres : certaines étaient plus jeunes que moi, mais la plupart un peu plus âgées. Elles étaient toutes mignonnes dans leurs genres, mais aucune véritablement très belles. " Ouf, me suis-je dit, j'ai peut-être une chance ! Jean a tellement envie que je gagne, je dois y arriver pour lui faire plaisir ! ". Sur le côté du public, mon mari me faisait justement un signe de la victoire ! Je gonflai alors ma poitrine et me cambrai au maximum pour mettre en avant mes atouts. Bien sûr, je n'oubliais pas de sourire généreusement...
Une fois les dix participantes présentées, chacune dû faire un tour d'estrade à l'appel de son nom afin de permettre au public de se faire une première opinion (les votes étant effectués à mains levés). Celles qui passaient devant moi adoptaient toutes une attitude très aguicheuse, ce qui me fit penser que la lutte allait sans doute être rude.
Lorsque ce fût à moi, je ne parvins pas à adopter la même attitude. Je me rendis compte rapidement que j'étais en retrait par rapport à mes compétitrices. Jean me fit d'ailleurs un signe en ce sens... Heureusement, nous avions toute un deuxième passage : celui ou nous devons retirer nos robes pour apparaître en maillot de bain deux pièces.
Là, je n'avais plus le droit à l'erreur. Aussi, lorsque ce fut à moi, je mis immédiatement " le paquet " : œillade vers le public, passage suggestif de mes mains sur mon corps... Je fis glisser langoureusement ma robe à mes pieds et l'envoyai dans le public d'un coup de pied, en espérant que Jean pourrait tout de même la récupérer ( !).
Je fis ensuite le tour de l'estrade en me cambrant au maximum avec un air un peu mutin qui me sembla être du meilleur effet. Je retournais ensuite satisfaite à ma place. Un coup d'œil à Jean : il était aux anges !
Les autres candidates, débarrassées de leurs principaux vêtements, ne disposaient pas toutes d'un corps aussi équilibré que le mien. Certaines avaient de grosses poitrines, mais aussi, la plupart du temps un gros popotin. D'autres, moins callipyge me semblaient un peu plates au niveau de la poitrine...
Cependant, quelques concurrentes (les plus " sérieuses ") avaient elles aussi à la fois une belle silhouette, un corps harmonieux et avaient eu l’intuition de mettre des strings mettant leurs fesses parfaitement en valeur . . . ce que je n’avais pas fait !
On passa ensuite au vote. Il en ressortit le nom de 5 d'entres-nous. Citée en second, j'avais des raisons d'être contente, mais en fait, j'étais déçue de ne pas être première... Je commençais à m'orienter vers l'escalier, pensant l'épreuve finie.
Mais je m'étais trompée : les cinq encore en lices devaient continuer afin qu'il n'en reste plus que trois, puis qu'ensuite soit choisie la " reine de beauté " du camping.
Jean vint me rejoindre pendant la pause et s'ingénia à me " mettre la pression " pour que je fasse " absolument tout " pour gagner. Il y tenait tellement que je ne le reconnaissais plus : lui si calme d'habitude, pourquoi ce concours le mettait-il dans un tel état ? Je lui promis de tout faire ce qui était en mon pouvoir, mais en même temps, je m'inquiétais des autres épreuves. Il ne voulut rien me dévoiler en arguant que les règles changeaient d'année en année. Mais il ne voulut rien me dire sur les épreuves des années passées...
A nouveau sur l'estrade pour le second round, nous étions appelées vers le devant de la scène par l'animateur une par une. Autres questions anodines, vite expédiées. Puis l'animateur commença, à ma grande stupeur, par réaliser un " tour du propriétaire " de chacune d'entre nous. La première candidate, une grande blonde bouclée assez élégante, se nommait Julie. Il la tutoya rapidement et en joignant le geste à la parole, il décrit son physique de haut en bas : " Julie a de belles jambes soyeuses (il lui caresse les jambes), de belles cuisses pleines et puissantes (il lui caresse les cuisses), des fesses bien rebondies (il l'a fait tourner sur elle-même et lui caresse les lobes avec insistance)... ".
Enfin, remontant le dos, il lui dégrafa le soutien-gorge et lui fit enlever pour le jeter dans le public. Elle dut ensuite se mettre de face et de profil pour que chacun apprécie les rondeurs juvéniles - elle devait avoir une vingtaine d'années comme moi - de ses obus en forme de pomme dont il caressa aussi les mamelons avec insistance afin que ceux-ci s'érigent, ce qu'ils firent d'ailleurs ! Julie se laissa faire, le sourire aux lèvres, puis Christelle, une jolie brune aux yeux clairs, subit le même sort. Désespérée, je regardais Jean avec des larmes dans les yeux pour lui demander d'abandonner. Mais celui-ci, inflexible, me fit signe que non seulement je devais continuer, mais aussi gagner !
Je passai en troisième position. L'animateur avait lui aussi gagné de l'assurance.
Manifestement, j'étais à son goût, car il flatta longuement toutes les parties de mon corps, sous prétexte de mieux les montrer au public. Il souleva même un peu mon slip vers l'arrière afin d'y glisser une main que je sentis à peine, tellement j'avais le trac. Bien entendu, il me dégrafa aussi le soutien gorge et décrit avec flamme mes seins qu'il pétrissait avec empressement.
Lorsque je fus bien ravalée au rang d'un animal de foire dont on fait l'article pour mieux le vendre, je retournai à ma place, touchée dans mon amour-propre et honteuse de moi. Seul Jean me félicita à distance, et je fus rassérénée d'être soutenue par la seule personne que j'aimais. Les deux autres candidates eurent droit au même traitement avilissant ... Un autre vote eu lieu. J'étais cette fois-ci troisième des trois finalistes. Les deux filles écartées par le vote du public descendirent de l'estrade en pleurs, accueillies l'une par son petit ami, l'autre par ses parents.
Celles qui restaient se regardaient en " chien de faïence ". Nous appréhendions toute, ce qui allait venir. L'animateur prit alors la parole : " Cette année, nous allons donner aux filles elle-même le choix des armes pour recueillir le plus de votes. Voyons jusqu'ou elles sont prêtes à aller pour gagner ! Pour ceux qui ne le savent pas encore, je rappelle que la lauréate gagne la gratuité totale de son séjour chez nous pour elle et sa famille pour le mois entier. Que la plus appétissante gagne !
Ce fût l'effet d'une bombe. Simultanément, je devinai bien des choses :
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Jean voulait que je gagne pour faire une économie. En effet, j'ai immédiatement compris après notre mariage que son pire défaut est l'avarice. J'en veux pour preuve cette " lune de miel " dans un camping...
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Ce concours de reine de beauté tournait en un combat de séduction à la limite ( ?) de l'érotique, sans doute au grand plaisir du public venu en masse ce soir. Effectivement, il y avait bien là plus de 500 personnes, surtout des hommes, et en tout cas la totalité des locataires du camping..
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La troisième position me permettait de jouer ma carte en dernier, aux vues de ce qu'avaient fait mes compétitrices ! Il me suffisait d'aller un peu plus " fort " pour gagner !
Mes sentiments étaient donc très mitigés. Cependant j'avais le cœur gros de savoir que Jean me laissait me traîner dans la boue pour gagner quelques milliers de francs... Cependant, toujours amoureuse, je ne voulais pas le décevoir...
La première candidate s'avançait. Elle commença à danser de manière très érotique. Manifestement, elle avait compris que sa première place pouvait se retourner contre elle. Aussi, elle n'hésita pas à pousser le bouchon très loin : avec stupéfaction, je la vis baisser langoureusement son slip pour découvrir d'abord son fessier (qu'elle avait très beau). Ensuite, lorsqu'elle se fut débarrassée de tout vêtement, elle se retourna puis ôta l'une après l'autre les mains qui cachaient sa toison brune et bien découpée.
Elle continuait à danser, mains remontées sur la tête, poitrine en avant, alors que la foule l'applaudissait à tout rompre. Mais son final était encore plus éblouissant : elle termina sa danse les jambes totalement écartées face au public et les seins en avant (soutenus par ses mains), offerte à la foule ! J'étais désespérée.
Ensuite interrogée par l'incontournable animateur, elle en profita pour " remercier le public avec lequel elle venait en quelque sorte de faire l'amour ". Puis, à la question, " Et si vous gagnez, que proposez-vous ? ", elle répondit : " Je propose de ne pas me rhabiller pour la soirée qui va suivre afin que chacun puisse me voir de près lorsque je danserais sur la piste ! ". Elle fût bien entendue acclamée...
J'en restais bouche bée ! Mais, comme si de rien n'était, Jean, de loin, continuait à m'encourager. Il me criait " je te donne carte blanche, tu peux faire mieux " !
Déjà, la seconde candidate s'avançait. C'était la blonde Julie. Elle ne se mit pas à danser. Elle hésitait, ne savais quoi faire... Enfin, elle se décida. Elle prit la parole et dit : " Je ne danse pas très bien, mais par contre, si vous votez pour moi, sachez que je prends l'engagement de rester totalement nue dans le camping et sur la plage à partir de maintenant et pendant la totalité des vacances, jusqu'à fin juillet. Je vous promets de ne rien vous cacher de mon anatomie et de rester souriante et avenante pour chacun. Maintenant, je vous montre tout de suite ce que je vous offre ". Elle joignit le geste à la parole et retira sa culotte avec une certaine maladresse.
Chacun put alors voir qu'il s'agissait d'une vraie blonde. Dont les poils, peu touffus, ne cachait pas la fente, longue et ourlée. Quelques sifflements d'admirations vinrent saluer cette mise à nu, suivie d'applaudissements appuyés. L'impétrante rougie v i o l emment, puis comme dans un dernier défit à elle-même lança à l’assemblée : « et pour que l’on puisse encore mieux m’admirer, je m’engage à m’épiler totalement mes parties intimes ! ». Après avoir montré ses fesses, elle retourna à l'arrière scène, rouge pivoine.
Enfin, ce fût à moi. Comment faire mieux ? Mue par mon stress, je ne tergiversai pas longtemps : je choisis tout simplement de reprendre à mon compte la meilleure des deux propositions et de surenchérir. Je fis donc un petit show au terme duquel ma culotte s'envola dans le public. J'exposai donc à la fois ma croupe, mes mamelles et ma chatte au regard et à la concupiscence de chacun, sans toutefois écarter trop les jambes (un zest de pudeur, peut-être !). Je ne me reconnaissais plus moi-même, d'ordinaire si calme et si réservée ! La honte de me montrer nue devant une foule d'inconnu ne me tarauda pas un instant : il fallait que je le fasse, je le faisais !
Puis, j'annonçai à tous que moi aussi, je resterais nue en toute occasion jusqu'à la fin du mois en cas de victoire et que je me raserai les parties intimes. Mais, en plus de ce que proposait Julie, « chacun aura le droit de me toucher et de me caresser, à la demande, sans que je ne puisse rien dire, et pourra ainsi vérifier la justesse de son vote ! »
« Un engagement facile à lancer, mais peut-être difficile à tenir ! » lança le Directeur du camping « car une fois échauffés, certains de vos électeurs pourraient se montrer très entreprenants » !
Le souffle ma manqua. L’instant était décisif. Je jetai à nouveau un regard à Jean, me fit le signe de la victoire.
Je repris mon souffle, souris de toutes mes dents et mains sur les hanches abattis mes dernières cartes : « allons Mr le Directeur, nos amis ici présents sont tous des gentlemen et ils ont toute ma confiance . . . mais si je venais à manquer mes engagements, même légèrement, je trouverai parfaitement normal de me faire punir à leur convenance . . . et que l’on me retire mon titre et mon prix ! » .
Sur le moment j’étais très fière de moi d’avoir eu le courage de me lancer de la sorte. J’étais à mille lieux d’imaginer à quel point mes « électeurs » n’étaient pas du tout des gentlemen !
Chapitre 2
Je me réveille à l'aube avec mon envie matinale habituelle d'uriner. Jean dors encore à mon côté. Délicatement, je descends la fermeture à glissière de notre sac de couchage commun. Je me glisse silencieusement hors du sac. J'en profite pour jeter un regard sur son beau corps endormis et nu (nous avons fait l'amour hier soir avant de nous endormir dans les bras l'un de l'autre). Son petit sexe rose est recroquevillé sur ses cuisses musclées. J'en suis toute attendrie...
Je referme enfin le sac de couchage et me glisse toujours silencieusement hors de la tente. Ouf, il ne s'est pas réveillé ! Aujourd'hui, je veux lui faire une surprise...
Tout d'abord, je me dirige vers les toilettes à côté des douches. Le camping est encore tout endormi. Seul quelques matinaux sont réveillés et s'activent en silence, soit pour confectionner un petit-déjeuner, soit pour préparer leurs sacs à dos, en vue d'une randonnée. Sur le chemin, plusieurs me sourient et la plupart m'appelle par mon prénom. Il faut dire que je suis célèbre dans tout le camping désormais ! De plus, je suis très visible, car ma tenue détonne beaucoup par rapport à celle des autres : je suis intégralement nue en permanence, le sexe rasé de près, depuis que j'ai gagné le concours de " Miss Camping " du début du mois. Bref, tout le monde connaît « Coralie, Miss Camping 2006 » !
La plupart des résidents ont été très gentils avec moi, et m'ont rendus la tâche aisée. Mais quelques uns et surtout quelques unes n'ont pas du tout apprécié soit le concours, soit ma méthode pour gagner... Mais j'ai décidé de ne pas y prêter attention. Après tout, j’étais en congé à plus de 1000 km de mon domicile, et je pensais que ne verrais jamais plus ces gens.
Bref, pour moi, c'était une parenthèse originale dans ma vie, qui devait reprendre son cours normalement après les vacances...Il y allait avoir loin de cette rêverie à la réalité ! Arrivée aux toilettes, je tombe sur un homme que je ne connais pas encore : un nouveau venu au camping. Surpris par ma tenue, il m'en demande les raisons. Je lui explique alors mon engagement et ses raisons. Amusé, il profite sur-le-champ de l'aubaine par un petit tapotis sur mon postérieur, puis encouragé par mon sourire et ma docilité, il continue par une longue caresse sur le dos, le ventre et les cuisses.
Enfin, il s'empare de mes seins qu'il malaxe sans ménagement. Bien entendu, je m'offre sans réticence à ce traitement désormais habituel, que j'ai maintes fois subie depuis quelques jours. Bref, c'est le train-train !
Je ne suis pas inquiète malgré notre relative solitude et je goûte sans bouder mon plaisir les caresses de plus intimes prodigué par ce bel homme d'une trentaine d'année. Cependant, l'envie d'uriner me taraude toujours. Je lui fais part de ce besoin naturel afin qu'il me laisse entrer dans les toilettes toutes proches. Il me dit alors : « Allons derrière l'arbre, tu pourras uriner pendant que je te caresse ».
D'abord surprise par cette proposition inattendue, je tente de refuser, mais les caresses de cet inconnu m'électrisent et je souhaite qu'elles continuent encore. J'accepte donc. Que de chemin parcouru depuis le concours de Miss Camping, ou je rougissais de honte, la peur au ventre, dès qu’un homme me touchait ! Maintenant, j’ai toujours la peur au ventre, mais je les attends presque les caresses ! Et lorsqu’elles arrivent, c’est avec plaisir que je les accueille.
Me voici donc debout, les jambes écartés et penchée en avant me tenant à une branche basse, en train d'uriner, toute honte bue, devant un illustre inconnu qui me pétrie fesses et poitrine comme du bon pain, tout en faisant passer la pointe de ses doigts sur mon dos et mes hanches...
Au début, l'urine a du mal à venir : l'inconfort de la position me bloque. Mais, petit à petit, aidé de mon inconnu, je me laisse aller. Quelques gouttes perlent tout d'abord sur mes lèvres intimes, puis soudain un jet dru arrive. L'homme se place en face de moi pour admirer ma fontaine et me féliciter pour cette " production ".
Avec ses doigts, il s'amuse à orienter le jet en tirant gentiment sur mes muqueuses. Puis, tout à coup, il bloque mon urine en appuyant à la base de mon urètre, il me dit " Retiens-toi maintenant". Ce que je parviens à faire. Il me dit alors : " C'est le matin, tu dois faire un peu de gymnastique. Montre-moi comment tu fait le poirier ".
Sous le charme, je m'exécute. Je suis fière de montrer ma souplesse (10 ans de gymnastique, ça laisse des traces !). Je m'appuie sur un arbre et fais monter mes jambes bien serrés tout en maintenant mes hanches avec mes mains. Lorsque je suis en position, mon inconnu se place tout à côté de moi, et enserre chacune de mes chevilles dans ses mains. Il écarte ensuite ses bras, ce qui automatiquement me fait écarter les jambes. Je suis alors bien mal à l'aise, les cuisses ouverte et le sexe offert bien malgré moi.
En silence, il observe mon anatomie pendant que je le supplie de me laisser. Mais il a une autre idée : " Maintenant, continue à pisser ". Je proteste que le jeu a maintenant trop duré, et que je suis mariée... mais il ne laisse pas sa prise et répète " Pisse ". Je me concentre alors pour satisfaire son désir, d'autant que j'ai aussi encore bien envie. Mais l'urine ne veut pas sortir... Il me dit " Concentre-toi, j'attendrais aussi longtemps qu'il faudra ".
Plusieurs minutes s'écoulent alors. J'en profite pour lui dire que j'ai peur de me pisser dessus. Mais cette objection le laisse de marbre. Enfin, je parviens à me laisser aller. Ma fontaine ne s'écoule plus en jet, mais telle une vasque qui déborde. L'urine coule d'abord sur mon sexe, puis coulant sur mon « abricot » rasé de près, elle s'écoule doucement sur mon ventre et mes seins avant de glisser de part et d'autre de mon cou. Je me couvre littéralement d'urine !
Cependant, la sensation qui en découle n'était pas désagréable. Au contraire, je me sens bien, apaisée, ce liquide chaud me ruisselant sur la peau. Lorsque j'ai finit, il pose mes pieds délicatement par terre et me dit : « Je crois qu'il y a des douches là derrière. Vas-y, tu l'as bien mérité ! Merci et bonne journée surtout! ». Puis il s'en va, non sans avoir tapoté et caressé langoureusement une dernière fois mon fessier. Le regard qu’il lui a alors jeté me laissait clairement deviner qu’à notre prochaine rencontre, c’est à d’autres types de besoin qu’il allait me contraindre.
Je ne me le fais pas dire deux fois : je cours aux douches, encore vides à cet heure. Mais l'eau chaude n'est pas encore en marche : c'est une douche froide qui me remet de mes émotions ! Ensuite, trempée car je n'ai pas de serviette, je m'oriente vers la supérette pour prendre des croissants pour le petit déjeuner (c'est la " surprise " que je veux faire à mon homme). C'est le gérant qui m'accueille.
Dès la soirée d'élection, il avait marqué une nette préférence pour moi, et continuait à me montrer son intérêt par des caresses que je ne pouvais bien sûr pas refuser... Encore une fois, il profita de la situation... Me voyant mouillé, il me propose de me sécher (la supérette était vide à cet heure), ce que j'accepte avec plaisir car j'ai froid (il est encore assez tôt). Il prend une serviette et me frictionne pour me réchauffer. Il insiste sur les jambes, le sexe, les fesses, le ventre, les seins... Lorsque je suis sèche, et un peu échauffée par la douce serviette qu'il a utilisée, il me demande de monter à quatre pattes sur le tapis de sa caisse. Puis il prend un plumeau en vente dans le magasin, et entreprend de me caresser méthodiquement avec cet instrument.
Je me cambre au maximum pour recevoir ses douces caresses au creux des reins, sur la poitrine, et de temps en temps entre les cuisses. Au début, je redoute l'arrivé d'autres clients. Mais au bout de cinq minutes de ce traitement, toutes mes inhibitions ont sauté : je ne pense plus qu'au plaisir que je reçois, les yeux fermés et le sexe humide... Mes seins pendent, dur comme de l'acier, les pointes érigées. Les cuisses légèrement écartés, j'attends avec impatience l'arrivé du plumeau dans cette zone particulièrement sensible. Mais le gérant sait y faire : il titille ma peau en maints endroits et passe de manière fugace entre mes jambes écartées. Ainsi, je demeure folle de désir inassouvie, offerte sur le comptoir...
Lorsque je rouvre mes yeux, plusieurs clients sont là et m'observent. Honteuse, je bredouille en commençant à descendre du meuble. Mais la main ferme du gérant m'y maintient. Il s'écrie : " Maintenant qu’elle est bien chaude, qui veut la caresser ? ".
Plusieurs mains viennent alors remplacer le plumeau. Un petit homme ventripotent glisse son bras sur ma chatte et récupère un peu de mon liquide intime qu’il porte à sa bouche. Honteuse, je dois endurer des remarques du type " C'est vraiment une pute, elle aime ça ! " pendant que d'autres glissent leurs mains sur ma poitrine (douloureuse, tellement elle est tendue).
Les caresses se font de plus en plus insistantes et intimes : des doigts pénètrent ma chatte, titillent mon clitoris, puis un index s’introduit brutalement dans mon anus ! C’est la première fois qu’on me pénètre par ce côté. La douleur est forte, mais comme les caresses sur ma vulve se font de plus en plus insistantes, le plaisir arrive. Par réflexe, j’abaisse mon bassin, me cambre au maximum en écartant les cuisses, poitrine offerte. J’allaite comme une femelle en chaleur ! Alors que le doigt va et vient dans mon cul, qu’une main me tripote la moule, que deux mains me malaxent les seins, une autre main s’abat sur mes fesses avec v i o l ence.
« Jouit salope ! Jute à fonds ! » cri le nouvel intervenant. Un vertige me saisit. Je jouis sans retenue et m’affale sur la table. Je crois entendre « sacrée traînée, dans une semaine on va pouvoir en faire ce que l’on veut . . . y compris l’emmener à poil au marché ! ».
Je reprends peu à peu mes esprits. Je suis seule avec le gérant. Enfin, j'ai le droit de redescendre. Je m'empare alors des croissants que j'étais venu chercher et part sans demander mon reste...
En chemin vers la tente, trois autres campeurs me caressent copieusement et le dernier me pince les tétons tellement fort tout en me tirant sur les seins que je pousse un petit cri de douleur.
Décidément, mes électeurs n’étaient pas des gentlemen’s. Les larmes aux yeux, je regagne la tente.
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